Vous avez raison, mieux vaut ne rien faire, comme cela quand tout aura vraiment raté au moins rien ne pourra vous être reproché.

Au-delà de cette provocation paradoxale la question du vouloir agir se pose. Noam Chomsky estime qu'il existe en nous un instinct de liberté qui nous donne le pouvoir de faire évoluer les choses et de contribuer ainsi à rendre le monde meilleur.

Je crois que cet instinct mérite d’être écouté et perçois le coaching comme l’une des voies les plus efficientes pour accompagner ce mouvement individuel comme collectif.

Ceci pour un nouvel équilibre entre la volonté de bien faire et le désir de vivre bien. Ensemble si possible, dans la belle intention de se mettre au service de cette humanité loca-terre.